« Culture Générale et Expression » : cette formule n’est pas qu’une matière suivie pendant 2 ans. Au-delà de la préparation aux épreuves écrites, que sont la redoutable synthèse de documents et l’écriture personnelle, c’est avant tout l’étude de 2 thèmes qui permet un accès à la culture et l’enrichissement des connaissances des étudiants.
Le MAHHSA, vous connaissez ? Il s’agit du Musée d’Art et d’Histoire de l’Hôpital Sainte-Anne, situé rue Cabanis, Paris 14e. Depuis plus de 60 ans, ce musée a entrepris la constitution d’une collection d’œuvres et organise régulièrement des expositions. Parmi elles, l’expo « maisons», qui s’est tenue du 19 novembre 2021 au 14 mai 2022, qui a décliné les différentes approches de la maison. Pour rappel, la demeure hospitalière de Sainte Anne est dédiée à l’accompagnement et au rétablissement de personnes atteintes de maladies mentales.
Sous l’apparence d’une extrême simplicité, la maison permet en effet de développer de multiples images personnelles, des conceptions idéologiques et architecturales, des modes d’existence ou des choix de vie, des projections imaginaires ou des métaphores.
Près de cent-dix œuvres de la collection Sainte-Anne ont donc été réunies pour explorer ce thème, conjointement avec une douzaine d’œuvres contemporaines venues de plusieurs Fonds régionaux d’art contemporain. Une véritable aubaine pour Magali BRAILLY-RODI, formatrice en Culture générale et expression en BTS, dont le thème d’étude est justement « Dans ma maison ». Le 22 avril dernier, les BTS TC 2e année se sont donc rendus à l’exposition, en compagnie de leur formatrice. À leur retour, ils se sont livrés à un beau travail d’écriture et d’analyse, que nous vous proposons de retrouver ici en intégralité :
A SAINTE-ANNE, L'ART DES ARTISTES -PATIENTS S'EXPOSE DANS LA DEMEURE HOSPITALIERE ET S'OUVRE AU PUBLIC
« Dans une galerie souterraine du centre hospitalier Sainte-Anne, dans le XIVe arrondissement de Paris, une centaine d’œuvres d’artistes-patients et d’artistes contemporains offrent l’occasion de s’interroger sur les représentations de la Maison dans l’imaginaire individuel et collectif, et plus largement, sur l’histoire contemporaine de la psychiatrie à travers le processus de création et de production artistiques.
Le 22 avril 2022, nous sommes allés visiter avec la classe BTS TC 2 de la Faculté des Métiers d’Evry, le musée de l’hôpital Sainte-Anne à Paris. L’hôpital Sainte-Anne est un site du groupe hospitalier universitaire Paris psychiatrie et neurosciences, spécialisé en psychiatrie, neurologie, neurochirurgie, neuro-imagerie et addictologie. Les premières pierres de cet établissement sont posées en 1651 sous l’impulsion de la reine Anne d’Autriche, dont il prendra le nom, et demeure en France, avec l’hôpital Esquirol à Saint-Maurice, le symbole des institutions de soins psychiatriques. Il est aussi le premier hôpital à avoir mis en place des ateliers d’art-thérapie artistique et à avoir reçu le statut de musée, avec de nombreux artistes au sein des patients qui y ont séjourné et des artistes contemporains qui travaillent en collaboration avec celui-ci. Sur place, nous avons rencontré Margaux Blondel qui est en charge de l’action culturelle du musée et des archives et qui nous a présenté ce lieu, ainsi que l’exposition temporaire. Nous avons pu contempler une sélection de différentes œuvres de la Collection Saint-Anne, d’œuvres prêtées par des artistes contemporains et écouter leurs histoires respectives. Nous avons appris de nombreuses choses sur l’histoire de cette institution ainsi que sur les réalisations de ses patients-artistes, et les méthodes qu’ils utilisaient pour réaliser leurs dessins et peintures. Certains d’entre eux, par exemple, utilisaient un matériel rudimentaire. Ils n’avaient pas accès à des pinceaux ou à des crayons de couleurs, surtout à l’époque et ils utilisaient d’autres ressources et d’autres techniques comme le stylo à bille ou plus insolites comme des médicaments dérobés à la pharmacie de l’hôpital ou encore de de l’herbe et des fleurs cueillis dans les jardins pour la couleur. D’autres encore avaient la chance de pouvoir utiliser des fusains ou de la gouache pour leurs œuvres, les rendant encore plus impressionnantes.
Une exposition humaniste, marquante et passionnante, qui invite à modifier le regard que nous portons sur l’altérité et la « maladie mentale » et à réévaluer la frontière entre le « normal » et le «pathologique » !
Des expositions thématiques sont organisées plusieurs fois par an au musée de l’hôpital. L’exposition temporaire actuelle est consacrée au thème de la maison et de ses différentes représentations, en lien avec notre programme de Culture Générale (Français). L’exposition « Maisons » se structure autour de 4 axes. Le premier, la « Maison-hôpital », aborde les représentations de l’hôpital quand il devient un espace d’habitation et de vie quotidienne, alors que le deuxième intitulé « vers la Demeure » met en scène différentes représentations de la maison et interroge sa fonction et sa dimension symbolique. Le troisième axe, « A l’intérieur de l’intime », nous fait entrer dans l’intimité de la maison en l’abordant conjointement comme un lieu de repos, de loisir ou de l’ennui, mais aussi de l’idéal, de la mémoire et du souvenir. Enfin, le dernier axe, « Rêve d’habitation », explore les lieux d’habitations imaginaires tant sous l’angle de la création-esthétique que sous celui de la catharsis, la création-résilience, à travers la recréation d’un monde idéal défiant la réalité d’une éventuelle souffrance interne et participant à la reconstruction de l’Etre à travers l’expression de l’artiste.
Parmi les différentes œuvres exposées et présentées par Madame Blondel, nous avons pu remarquer que de très nombreuses réalisations sont le fruit d’un très grand talent de dessinateur/trice, nous invitant à dépasser ainsi nos préjugés sur la différence, la maladie et les troubles mentaux, pour voir la compétence et le génie de femmes et d’hommes artistes à part entière. Certaines œuvres ressemblent, au premier coup d’oeil, à des dessins d’enfants, qui révèlent en les explorant patiemment une complexité déconcertante alors que d’autres, plus précises dans le geste artistique et la maitrise technique, nous montrent un grand niveau de détails et un sens esthétique très aiguisé. La majorité des œuvres exposées sont des dessins et des peintures, mais pas uniquement. Nous avons aussi pu observer une œuvre plastique nommée Maison de riz, réalisée par Wolfgang Laib en 1985, composée d’une structure de métal et de matériaux organiques. »
Nouveauté 2022 : la Licence énergétique et fluides du bâtiment
L’offre de formations proposées par la filière Electro-Energétique s’enrichit. Dès la rentrée 2022, une nouvelle licence intitulée « Licence énergétique et fluides du bâtiment »est proposée aux candidats titulaires d’un BAC + 2 dans les domaines de l’énergétique, du génie climatique ou électrique.
Conçue et pensée pour répondre au mieux aux attentes des entreprises, elle répond aux objectifs suivants :
Conception et dimensionnement des équipements techniques de bâtiment (fluides, systèmes énergétiques) en réponse au cahier des charges du projet
Réalisation des notes de calcul, des schémas techniques, des plans ou des maquettes des éléments techniques de conception et de dimensionnement des ouvrages et des équipements
Pilotage des études d’exécution et de synthèse, afin de communiquer aux différents acteurs de la phase travaux les plans (les maquettes) et les plannings d’exécution
Application des méthodologies BIM afin d’assurer l’échange des données numériques entre les intervenants
Application des méthodologies et réglementations en vigueur dans le domaine de la thermique, du fluidique et de l’enveloppe du bâtiment
A l’issue de la formation, les titulaires de cette licence pourront occuper des fonctions de chargé d’affaires ou d’études, responsable d’exploitation ou de maintenance de site.
Côté ateliers, on se développe !
La refonte du BAC TMSEC en BAC MEE nous a conduits à repenser les activités à l’atelier.
Dès la seconde, les apprentis effectueront des activités de plomberie en adéquation avec les situations rencontrées en entreprise.
D’autre part, une organisation en mode projet est mise en place :
reproduction d’un local technique (évier, chauffe-eau, commande heures creuses/heures pleines du chauffe-eau, éclairage et prise RJ45) qui va permettre de créer une interaction entre plomberie, électricité, énergétique
diversification des activités de plomberie en intégrant à la formation le sertissage, la brasure cuivre et les pompes à chaleur.
Dès la seconde, l’initiation à la maquette numérique, avec l’utilisation d’un viewer pour retrouver des caractéristiques et des informations techniques sur maquette numérique, va permettre aux apprentis de se familiariser très tôt avec un outil aujourd’hui indispensable en entreprise.
Aujourd’hui plus que jamais, Il est devenu important d’assurer la relève, et ce, quel que soit le métier, en formant des jeunes passionnés par un travail manuel. Les métiers de l’esthétique, par définition, ne sont pas délocalisables et, malgré les difficultés financières actuelles de la population française, ne connaissent pas la crise. Ce secteur continue à accroitre son chiffre d’affaires.
Être Maître d’apprentissage, c’est assurer une formation pratique qui correspond aux attentes d’un marché, en complément d’une formation dispensée dans un centre de formation d’apprentis qui correspond aux attentes d’un examen. Ces 2 aspects doivent permettre à un jeune d’être employable très rapidement après sa formation et à un employeur d’assurer la montée en gamme de son entreprise.
L’apprenti(e), un véritable atout pour un institut
Embaucher un(e) apprenti(e) c’est rajeunir sa force de vente et, parfois, attirer une nouvelle clientèle, plus dans l’air du temps. Cela permet aussi d’intégrer de nouvelles notions en termes de communications (réseaux sociaux par exemple). Mais pour y parvenir, il est nécessaire de l’accompagner, de l’intégrer aux décisions prises, de le/la valoriser…
La Faculté des Métiers de l’Essonne offre 3 niveaux de formation, qui permettent à tout salon de trouver le profil idéal :
Un niveau CAP pour compléter son équipe de praticiennes ou sa force de vente :
apprentissage des bases du métier (soin visage, épilations, manucurie, beauté de pieds, maquillage et vernis) en technique esthétique et en vente.
En 2 ans (ou 1 an pour les sorties d’un diplôme CAP ou BAC).
Un niveau BP pour vous assisteraussi dans la gestion quotidienne de votre entreprise :
perfectionnement et spécialisation des soins visages, découverte des soins du corps (relaxation, drainage, amincissement…), techniques professionnelles qui sont en demande dans les entreprises : rehaussement de cils, prothésie ongulaire, paraffine, spécialisation en vente…
En 2 ans.
Un niveau BTS pour amorcer une réelle politique de communication ou réfléchir à une nouvelle stratégie commerciale: spécialisation sur toutes les techniques professionnelles, vente et étude de cas.
En 2 ans.
Rappelons que ces 3 formations sont dispensées sur notre Campus d’Évry.
Comment ne pas se tromper lors de l’embauche d’un apprenti ?
Lorsque cela est possible, il faut privilégier les processus habituels : Bouche à oreille, candidatures spontanées…
Le cas échéant, le CFA propose une aide souvent précieuse pour les petites entreprises qui n’ont souvent pas le temps de respecter les étapes de recrutement nécessaires. Isabelle FOURNOL, notre Chargée de Développement, peut également proposer un vivier de candidatures en fonction des besoins de l’entreprise, du profil désiré, des compétences déjà acquises et du diplôme recherché. Un service qui fait la quasi-unanimité chez nos partenaires.
Les + de la formation CAP Esthétique à la FDME
Dès la rentrée 2022, les apprentis en esthétique pourront exercer leur pratique dans des ateliers entièrement rénovés et agrandis. Nos effectifs sont en progression constante depuis quelques années (140 cette année, tous niveaux confondus), et leur formation doit se faire dans des conditions optimales. Travail en demi-groupe, projets et sorties pédagogiques ( au congrès de l’Esthétique par exemple…), le tout encouragé par de solides partenariats. Depuis la création de nos formations, 800 entreprises qui nous ont fait confiance.
Petit bonus, la Faculté des Métiers propose à toutes ses apprenties esthéticiennes, en formation CAP, une formation SST(Sauveteur Secouriste du Travail) d’une durée de 14 heures. Cette formation SST a pour but de sensibiliser l’apprenant à l’environnement accidentogène au travail, à son rôle actif dans la recherche des risques persistants et dans la définition d’actions de prévention ou de protection. Une véritable valeur ajoutée pour les employeurs d’un salarié ayant bénéficié de cette formation.
Zoom sur la formation SST : un véritable atout en entreprise
Les CAP Esthétique apprennent à travailler dans des conditions de travail plus sûres avec des personnes formées à agir pour la prévention et prêtes à intervenir en cas d’accident. Un réel atout acquis après 2 jours de formation : être capable de sauver des vies !
Pour la 3e année consécutive, la filière Soins à la Personne a permis aux CAP 2 Esthétiquede suivre la formation SST (Sauveteur Secouriste du Travail).
Préconisée dans le référentiel en PSE, elle répond également à l’objectif de l’INRS ( Institut national de recherche et de sécurité ) qui souhaite généraliser l’intégration d’un enseignement en santé au travail dans la formation initiale.
La raison est simple : une étude épidémiologique révèle que les jeunes de moins de 25 ans formés en santé et sécurité au travail pendant leur scolarité ont 2 fois moins d’accidents du travail que les autres.
Cette mission incombe à Patricia Sève, formatrice en PSE. A raison de 10 apprentis par session de 14h de formation, ce sont 24 apprentis qui ont ainsi pu être formés cette année.
Au programme, l’apprentissage des premiers secours et de la conduite à tenir pour donner l’alerte si nécessaire, avec rapidité et efficacité. Ces jeunes gens sont ainsi sensibilisés aux risques professionnels, et devront faire un recyclage de 7h dans 2 ans pour maintenir leurs acquis et assurer le suivi de la formation.
Votre CONTACT Entreprise à la filière Beauté et Bien-être :
Isabelle FOURNOL
Chargée de développement de la filière Coiffure – Esthétique
Au sein de la filière Artisanat, les formateurs ont à cœur de rester au plus proche des entreprises du secteur et des structures professionnelles. C’est pourquoi, le 7 avril 2022, la FDME a accueilli une réunion des jurys de préparation aux Papilles d’or 2022. Cette année encore, deux formateurs des métiers du goût endossent le rôle de jurés pour la catégorie « restauration traditionnelle », pour laquelle 24 restaurateurs ont déposé leur candidature. Ils seront accompagnés dans cette mission par 1 juré CMA, 1 juré CCI et 1 juré “consommateur”.
Qui sont les formateurs FDME ?
Olivier COUTTÉ, formateur de cuisine à la FDME, n’est pas inconnu du concours. En effet, il a été lauréat à 3 reprises en tant que restaurateur (1 médaille d’or et 2 médailles de bronze). Depuis 4 ans, il lui a donc semblé naturel de passer “de l’autre côté”, en y participant en tant que juré. Il a ainsi pu jurifier 3 catégories : Crêperie / restauration traditionnelle / Cuisine du monde.
Virginie NAST, formatrice en service en restauration à la FDME, est jurée depuis maintenant 2 ans pour la catégorie restauration traditionnelle.
Le rôle des jurés
Mme Virginie NAST – formatrice FDME (au 1er plan) M. Olivier COUTTÉ – formateur FDME (en distanciel, non présent sur la photo) Sur la photo de droite à gauche : M. Alain MARECHAL (jury consommateur) – Mme Murielle BRICARD (jury CCI) – Mme Nolwenn LERICHOMME (jury CMA)
Les jurés détermineront la qualité et le professionnalisme des candidats à travers les critères suivants :
Accueil et services
Hygiène et respect de la réglementation
Qualité des produits
Dégustation
En 2021, 7 établissements ont atteint l’excellence avec 4 Papilles, dans la catégorie restauration traditionnelle.
Rendez-vous en novembre 2022 pour découvrir les établissements décorés cette année !
ZOOM SUR LE CONCOURS
Les Papilles d’Or : Qu’est-ce que c’est ?
Les Papilles d’Or est un concours organisé par la CCI et la CMA de l’Essonne, qui distingue chaque année les meilleurs commerçants et artisans alimentaires de l’Essonne.
Un guide incomparable pour les consommateurs à la recherche de produits authentiques et de belles adresses !
La FDME est fière d’être partenaire de la cérémonie des Papilles d’Or organisée par la CCIE et la CMAE qui distinguent les meilleurs commerçants et artisans alimentaires de l’Essonne. Lors de la 21ème cérémonie organisée en 2 parties, notre Président, Fabien Daurat, a récompensé les lauréats en boulangerie et en cuisine et remis aux 36 labellisés 4 papilles une invitation pour 4 repas gastronomiques dans notre restaurant d’application.
Quelles catégories sont distinguées ?
Boucherie
Boulangerie
Caviste
Charcuterie
Fromagerie
Pâtisserie
Poissonnerie
Primeur
Restauration gastronomique
Restauration traditionnelle
Cuisine familiale/brasserie
Cuisine du monde
Crêperie
Torréfacteur
Traiteur
Comment se déroule le concours ?
Les commerçants et artisans labellisés proposent leur candidature au concours. Suite à une présélection, ils reçoivent la visite d’un jury itinérant qui déterminera si le commerçant/artisan est éligible à recevoir le label Papilles d’Or. Selon leur niveau, les commerçants et artisans labellisés reçoivent de 1 à 4 papilles.
Comment le concours s’est-il mis en place ?
Historiquement, le concours était organisé sur une journée, durant laquelle commerçants et artisans venaient présenter leurs savoir-faire en un lieu unique. Puis le concours a évolué, instituant des jurys itinérants, et ouvrant de nouvelles catégories. A l’origine, les Papilles d’Or consacraient un 1er prix, 2ème prix et 3ème prix, ainsi que des finalistes.
Depuis 2015, les participants se voient attribuer une classification de 1 à 4 papilles, pour promouvoir l’excellence. De 40 candidats labellisés en 2000, les Papilles d’Or sont passées à plus de 200 commerçants et artisans promus en 2020 !
En 20 ans, les Papilles d’Or sont devenues une référence en Essonne, qui consacrent des maisons établies ou participent à faire émerger de nouveaux et jeunes talents. Par ailleurs, les Papilles d’Or ont bénéficié du parrainage de personnalités réputées dans le domaine de la gastronomie : Maïté, Vincent Ferniot ou encore Laurent Mariotte.
L’objectif de la Filière Tertiaire de Massy est de développer des parcours de formations qui permettent aux alternants d’accroître leurs savoirs et compétences au fil des années qu’ils passent au sein de la Faculté des Métiers de l’Essonne.
À l’image du parcours en Comptabilité qui offre l’opportunité à un BTS Comptabilité-Gestion de continuer en Bac+3 Diplôme de Comptabilité et de Gestion puis en Bac+5 Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion, un alternant en informatique après un BTS Services Informatiques aux Organisations, peut se voir proposer 3 parcours en Bac+3 :
Bachelor Administrateur des Systèmes d’Information
Bac+3 Développeur Chargé de Projets en Solutions pour Mobiles et objets Connectés
Bac+3 Chef de Projet Web et Stratégie Digitale
La grande nouveauté de la rentrée 2022/2023 :
les apprentis titulaires d’un Bac+3 en Informatique pourront développer leurs compétences dans un parcours de 2 ans supplémentaires pour viser le Bac+5 Mastère Expert enSystèmes d’Information, spécialisation Cyber sécurité
Cette nouvelle offre de formation se concrétisera grâce au partenariat entre la Faculté des Métiers de l’Essonne et ISITECH, l’Ecole du numérique de Lyon.
Consciente de l’importance de la Cyber sécurité dans le monde d’aujourd’hui et de demain, la Faculté des Métiers de l’Essonne s’adapte aux besoins des entreprises pour offrir des prestations de formation qui les accompagnent dans la montée en compétences de leurs alternants ou de leurs stagiaires.
Par conséquent, nous invitons toutes les entreprises qui seraient intéressées pour développer leur sécurité informatique à venir vers nous pour étudier la possibilité de recruter un alternant sur 2 ans, qui apportera les connaissances acquises au sein de notre Organisme de Formation au service Informatique de l’Entreprise.
Notre objectif commun est de proposer des offres de formation diverses – notamment pour les diplômes et titres post Bac+2 – qui répondent aux besoins des entreprises et servent l’employabilité de nos alternants et de nos stagiaires.
VOTRE CONTACT : Paul YIGIT Chargé de développement des filières Commerce et Informatique
Site de Massy 01 69 19 46 24 07 61 64 47 44
Est-ce l’effet de la popularité de belles innovations technologiques, ou des campagnes qui vantent l’émergence des usines 4.O ? En tout cas, l’image de l’industrie française – longtemps passéiste et déclinante – semble retrouver de l’éclat et susciter à nouveau de l’envie, notamment chez les jeunes !
D’autres, à l’inverse, ont cette idée en tête depuis leur plus jeune âge : c’est le cas de Nathan, 15 ans, qui termine actuellement sa 3e dans un établissement essonnien. Un grand-père tourneur-fraiseur, un goût prononcé pour la mécanique et l’industrie… Il n’en fallait pas plus à ce collégien pour franchir les portes du campus de la FDME de Bondoufle, lors d’une Journée Portes Ouvertes en février. «Nathan ? il a eu des étoiles dans les yeux dès qu’il est entré dans l’atelier », se souvient Laetitia ACHER, responsable de la filière des métiers de l’Industrie. Accompagné par ses parents, il n’a pas hésité une seule seconde et a rempli le formulaire de pré-inscription pour l’année 2022/2023. Seule ombre au tableau, comment choisir avec certitude telle ou telle formation, quand on a 15 ans et aucune expérience professionnelle ?
La solution : le stage d’observation
Touchées par la motivation du jeune homme, les équipes lui ont alors proposé un stage d’observation sur 3 jours. L’objectif ? Parcourir les ateliers et arrêter son choix, qui vacillait alors entre la chaudronnerie et l’usinage, tous deux en Bac Pro 3 ans. C’est ainsi que Nathan, convention de stage en poche, s’est rendu à Bondoufle du 23 au 25 mai, afin de prendre son avenir professionnel en main. Au programme, scie à métaux, cisaille guillotine, traçage de figurines et découpages en Chaudronnerie, mesures et suivi de production en Usinage, et un point commun : assiduité, curiosité professionnelle et un comportement irréprochable.
Bref, un stagiaire heureux et conquis !
« Ce que j’aime, c’est qu’ici on allie la théorie à la pratique, on comprend ce qu’on fait.
Les formateurs ont été disponibles à chaque instant et ont pu répondre à toutes mes questions ».
A la rentrée, c’est en Seconde TRPM (Technicien en Réalisation de Produits Mécaniques) que nous retrouverons Nathan. Désormais, toute son énergie est mise au service de la recherche de son contrat d’apprentissage, sésame indispensable à sa formation d’apprenti.
À la FDME, on œuvre à l’attractivité des métiers industriels
Comme Nathan, 16 jeunes, dont 2 jeunes filles, ont eu l’opportunité de participer à ces sessions de « mini-stage de découverte des métiers de l’industrie ». A ce jour, seul l’un d’entre eux n’a pas validé son choix initial et a changé d’orientation professionnelle. Les autres ont conforté leur premier choix et ont décidé de la spécialité en toute connaissance de cause. Grâce à de telles initiatives, la FDME s’emploie à faire découvrir ses métiers aux jeunes générations, consciente que ce sont les compétences développées aujourd’hui qui travailleront sur les technologies de demain.